Titre : | I. - Conseil détat. - Recours à la procédure dextrême urgence. - Motion de méfiance constructive prise à lencontre dun échevin. - Aggravation de latteinte portée à la réputation de léchevin. - Grande diligence de sa part pour saisir la juridiction. - Extrême urgence justifiée. -II. - Conseil communal. - Motion de méfiance constructive. - Acte accompli par une autorité administrative, destiné à produire des effets de droit. - Acte causant grief. - Acte attaquable. -III. - Préjudice grave difficilement réparable. - Motion de méfiance constructive justifiée par un prétendu manque de rigueur de léchevin dans la conduite daffaires publiques. - Atteinte grave à son honneur et à sa réputation. - Risque établi. -IV. - Motion de Méfiance constructive. - Motion dépourvue de caractère disciplinaire. - Mesure grave. - Applicabilité du principe audi alteram partem. - Délai de deux jours pour préparer sa défense. - Violation du principe. - (2006) |
Auteurs : | CONSEIL D'ETAT |
Type de document : | Article : Jurisprudence |
Dans : | JOURNAL DES TRIBUNAUX (N° ind, 08/03/2006) |
Article en page(s) : | pp. 326 à 328. - |
Sujets : | |
Doctrine ou Jurisprudence : | Jurisprudence |
Juridiction : | CONSEIL D'ETAT |
Année d'arrêt : | 2006 |